Nouvelles de la Dystopie :

Virus fantôme : À la recherche du Sras-CoV-2 (Off Guardian)

Virus fantôme : À la recherche du Sras-CoV-2
Article originel :  Phantom Virus: In search of Sars-CoV-2
Par Torsten Engelbrecht*, Dr Stefano Scoglio** & Konstantin Demeter***
Off Guardian, 31.01.21

Même l’Institut Robert Koch et d’autres autorités sanitaires ne peuvent pas présenter de preuve décisive qu’un nouveau virus appelé SRAS-CoV-2 nous hante. Ce seul fait transforme le discours sur les mutations virales dangereuses en une campagne de peur irresponsable et les tests PCR du SRAS-CoV-2 en une entreprise sans valeur.

Dans une demande d’étude qui montre l’isolement et la purification complète des particules prétendues être le SRAS-Cov-2, Michael Laue, de l’un des plus importants représentants mondiaux de la « panique » COVID-19, l’institut allemand Robert Koch (RKI), a répondu à cela[1] :     Je n’ai pas connaissance d’un document qui ait purifié des cas isolés de SRAS-CoV-2.

« Si vous ne testiez plus, la Covid disparaîtrait » : Déjà en mai, une publication importante comme le Journal of the American Medical Association affirmait qu’un résultat « positif » de PCR n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable« , alors qu’une étude récente du Lancet affirme que « la détection de l’ARN ne peut pas être utilisée pour déduire l’infectiosité ».

Nous avons la preuve scientifique que le Covid-19 / SARS Cov 2 n’existe pas. Un citoyen a envoyé une lettre au ministère de la Santé britannique pour demander les preuves de l’existence du SARS Cov 2. Le ministère de la Santé a répondu :  » Nous ne détenons aucun document prouvant qu’on a isolé un coronavirus appelé SARS Cov 2. » Le CDC (USA) a également admis ne pas posséder de preuve que ce coronavirus a été isolé. C’est aussi ce que disent, entre autres, les médecins Américains Dr Carrie Madej et le Dr Andrew Kaufman, qui ont scrupuleusement étudié les « preuves » scientifiques avancées.

LE GOUVERNEMENT IRLANDAIS ADMET QUE LE COVID-19 N’EXISTE PAS https://principia-scientific.com/irish-government-admits-covid-19-does-not-exist/.

Le Covid-19 N’existe pas Publié le 26 décembre 2020 Écrit par Gemma O’Doherty Après des mois de pénibles demandes de la loi sur la liberté de l’information, le gouvernement irlandais a finalement été clair et a admis qu’il n’avait aucune preuve scientifique de l’existence du virus SARS-CoV-2 (COVID-19). Quels autres pays vont être les prochains à admettre que cette pandémie était une arnaque? «DANS LE CADRE DE NOTRE ACTION JURIDIQUE, nous avions exigé la preuve que ce virus existe réellement [ainsi que] la preuve que les confinements ont en fait un impact sur la propagation des virus; que les masques faciaux sont sûrs et dissuadent la propagation des virus – ce n’est pas le cas. Aucune étude de ce type n’existe; que la distanciation sociale est fondée sur la science – ce n’est pas le cas. c’est inventé; que le suivi des cas contacts a une incidence sur la propagation d’un virus – bien sûr, ce n’est pas le cas. Cette organisation ici – se constitue au fur et à mesure. – Gemma O’Doherty À l’origine diffusé en direct depuis le bureau de Tony Holohan, médecin-chef de l’Irlande. https://gemmaodoherty.com/

Traduction de la vidéo :

https://www.fluoridefreepeel.ca/health-canada-has-no-record-of-covid-19-virus-isolation/?fbclid=IwAR18xzzjXuoWsjCRTIu82D5JMIB5khOwYUZfOUqKuKN5Zx4OLQ8U90ll8AM

ESPAGNE – LE MINISTÈRE ESPAGNOL DE LA SANTÉ ADMET NE PAS POSSÉDER D’ÉCHANTILLON ISOLÉ DU SARS-CoV2 

Le ministère espagnol de la santé admet dans une lettre officielle, à la demande d’un groupe de biologistes, qu’il ne possède PAS d’échantillon isolé du virus du SRAS Cov2.

SARS-CoV2 n’est pas isolé et nous ne savons pas qui l’a. C’est stupéfiant… L’Espagne avait l’obligation légale de DÉTECTER le virus jusqu’au 6 octobre 2021 !

L’escroquerie devient de plus en plus évidente !

Le virus inexistant ; une interview explosive de Christine Massey

Avec une formation en biostatistique, Christine Massey a utilisé les demandes de liberté d’information (FOIA) comme un outil de recherche, comme une fraise à diamant, pour découvrir la vérité sur le SARS-CoV-2. C’est-à-dire : Le virus existe-t-il ?

Son approche a donné des résultats choquants.

Dans un monde à moitié sain d’esprit, le travail de Christine remporterait de nombreux prix et bénéficierait d’une large couverture médiatique. Dans le monde actuel, de plus en plus de personnes, de leur propre chef, s’éveillent à ses découvertes et révisent complètement leur perception de la “pandémie”.

J’ai compilé toutes les réponses qui m’ont été envoyées sur ma page FOI[archive cv19], et au moment où je tape ces lignes (4 octobre 2021), nous avons des réponses FOI de 104 institutions dans plus de 20 pays, toutes relatives à la purification/existence du prétendu virus. En outre, il y a des documents judiciaires d’Afrique du Sud et du Portugal. Au total, 110 instructions sont représentées en ce moment sur mon site web. Il y a des réponses FOI d’autres institutions que je n’ai pas encore eu l’occasion de mettre en ligne.

R : Toutes les institutions sans exception ont omis de fournir ou de citer ne serait-ce qu’un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient.

Vingt et un des 22 établissements canadiens ont admis sans détour qu’ils ne possédaient pas de tels documents (comme l’exige la législation canadienne). De nombreuses institutions à l’extérieur du Canada ont admis la même chose, y compris le CDC (2 novembre 2020), le ministère de la Santé de l’Australie, le ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande, le ministère de la Santé et des Soins sociaux du Royaume-Uni…

Et dans certains cas, des excuses stupides ont été fournies. Par exemple, la réponse de la Direction norvégienne de la santé a été qu’elle ne possède pas, ne stocke pas et ne contrôle pas les documents contenant des informations sur les patients. La Direction de la santé publique du Pays de Galles a répondu au Dr Janet Menage qu’elle n’avait pas produit de tels documents et que, même si elle était normalement disposée à l’orienter vers des documents relevant du domaine public, ce serait trop difficile dans ce cas.

L’agence brésilienne de réglementation de la santé (Anvisa), qui approuve les injections à la manière de la FDA, a déclaré à Marcella Picone qu’elle ne disposait d’aucun dossier sur la purification du virus et qu’elle n’y était pas tenue par la loi, de sorte qu’il n’est pas de son ressort de s’assurer que le virus existe réellement.

…Comme vous l’avez souligné à vos lecteurs à maintes reprises : Personne n’a isolé/purifié “le virus”. Ils supposent simplement que les échantillons de patients le contiennent (sur la base de tests PCR sans signification). Ils falsifient les échantillons de patients avec du matériel génétique et des médicaments toxiques, affament les cellules, puis accusent de manière irrationnelle le “virus” de nuire aux cellules. Ils montrent du doigt quelque chose qui n’a jamais été purifié, caractérisé, séquencé ou étudié scientifiquement, dans une culture cellulaire et insistent sur le fait que “c’est le virus”. Ils fabriquent les “génomes” à partir de zillions de séquences détectées dans une soupe. Ce ne sont que des spéculations et des hypothèses sauvages, aucune science.

Les personnes responsables des affirmations manifestement frauduleuses faites par ces institutions sont donc soit extrêmement incompétentes, soit intentionnellement menteuses.

Retour courrier de la part de l’ANSM en France fin Juillet 2022 :