Depuis plusieurs jours, les réseaux sociaux étaient en haleine en attendant les « révélations » de la journaliste proche de Trump Candace Owens sur l’affaire Brigitte, évoquée de longue date dans le Courrier. Après de lourdes attaques informatiques que la journaliste attribue à la France (destinées à bloquer la diffusion de ses informations, procédé là aussi bien connu du Courrier), la première salve est partie. Candace Owens annonce « feuilletonner » sa série, et ce n’est pas piqué des hannetons. Macron pourra-t-il se relever de cette attaque en règle ?

(ici vraie vidéo traduit en français)

Devenir Brigitte – Une Introduction

Dans cette salve, Candace Owens prouve différents points particulièrement drolatiques :

  • elle a fait l’objet d’intimidations de la part du couple Macron qui ont tout fait (sans compter les attaques informatiques…) pour la dissuader de parler de cette affaire. La manœuvre des Macron paraît particulièrement maladroite
  • elle replace cette affaire dans le contexte « culturel » d’Emmanuel et de Brigitte Macron, et dans leurs inclinations pour les univers équivoques (notamment du point de vue de la pédophilie ou du LGBT), avec des éléments très précis rappelant notamment certaines scènes controversées de la cérémonie d’ouverture des JO que nous avions pointées cet été
  • elle souligne que le couple Macron a refusé de répondre à une liste très précise de questions, ce qui, dans la presse américaine, ne pardonne pas…

Pour l’instant, nous en sommes au premier épisode, qui constitue une introduction à l’affaire Brigitte pour le public américain. D’autres épisodes sont attendus.

Sur le fond, on imagine mal que ces révélations aient lieu sans une validation ultime de Donald Trump ou de son entourage.

Jusqu’ici, Emmanuel Macron a utilisé des techniques de diversion pour étouffer l’affaire. Il a ainsi savamment invisibilisé Xavier Poussard, alors journaliste de Faits & Documents, publication dont Alain Soral est l’actionnaire majoritaire (et que Xavier Poussard semble avoir quitté récemment), en évitant soigneusement de l’attaquer en justice. En revanche, Macron a fait diversion en attaquant Natacha Rey, qui avait « lancé » l’affaire, sur des points de détails, et il a lancé un écran de fumée en montant des procédures contre des « bouffons » (au sens médiéval du terme) qui ont tenté de ridiculiser et de décrédibiliser le dossier comme « Zoé Sagan », alias Aurélien Poirson-Attal, publicitaire actif sur X, et Bertrand Schöller, connu pour avoir monté une galerie d’art dans un quartier chic de Paris avec l’aide de Jacques Attali, avant de s’adonner au commerce d’oeuvres d’art pour des oligarques russes.

Si ces techniques d’enfumage ont permis de « neutraliser » la presse française en cornérisant l’affaire Brigitte au rayon des sagas complotistes (et l’intervention des Sagan et Schöller a ici bien servi le pouvoir), il reste à voir si l’arrivée de la presse américaine sera plus perturbante pour la crédibilité du Président.

L’affaire est à suivre dans les jours à venir, mais le risque d’image, dans une période compliquée, est loin d’être anodin pour Emmanuel Macron.



Grand malaise sur le plateau de TPMP concernant l’affaire « Brigitte Macron s’appelle Jean-Michel Trogneux »


Résumé :

1. Candace Owens a reçu une menace simple des avocats des Macron. Elle leur a alors envoyé 21 questions simples attendant un oui ou un non concernant Brigitte Macron pour savoir si oui ou non elle était née homme. En retour, elle n’a reçu aucune réponse aux questions et 100 pages de menaces légales.

2. Le directeur artistique  en charge de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris a été choisi personnellement par Emmanuel Macron. Or la saynète de la cène est clairement sataniste. Le président est donc directement impliqué.

3. Le Daily Mail a raconté que Brigitte Macron voulait remplacer la flèche de Notre-Dame par un sexe  vertical en érection avec deux grosses boules, tout cela en or. Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture, a confirmé que c’était son souhait et que ce n’était pas une blague.

4. Les goûts artistiques de Brigitte Macron sont très étranges car se rapprochent des goûts à tendances pédophiles. Comme la moquette « soleil noir ». Cette moquette a été retirée de l’Elysée car le pedigree pédophile de l’artiste commençait à devenir embarrassant. Celui-ci a d’ailleurs été condamné en 2023 pour viol sur un mineur.

5. Sur la photo officielle de l’intronisation de Macron comme président de la république française en mai 2017, il y a un livre en arrière-plan : « les nourritures terrestres » d’André Gide, qui est un pédéraste notoire, c’est-à-dire un pédophile attiré uniquement par les petits garçons.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *